jeudi 26 mars 2009

Les impressions de Maxime sur l'exposition de Jacques Lizène

Dans le courant du mois de mars, nous nous sommes rendus à Anvers pour y visiter le musée d’art contemporain. L’exposition du moment était celle de Jacques Lizène. Après plusieurs heures passées en classe à parler de cet artiste belge très reconnu, nous avons enfin eu l’occasion de nous retrouver face à ses œuvres et de nous faire notre propre opinion sur ce personnage très particulier.
Pour ma part, j’ai apprécié cette exposition car les travaux proposés m’ont vraiment plu et intéressé, même si à la base je n’étais pas vraiment convaincu par les œuvres de ce monsieur très spécial. La vision de ses réalisations m’a permis de mieux comprendre ce que l’artiste voulait montrer et faire passer comme message. Tout au long de la découverte de ce « phénomène » de l’art contemporain belge, nous nous sommes posé toutes sortes de questions sur les raisons qui poussaient Lizène à réaliser ce genre d’œuvres qui pour nous n’avaient pas vraiment de sens.
Cette journée a été une belle découverte car nous avons pu découvrir le travail d’un artiste dont nous avons longuement parlé en classe. Cela nous permet de nous plonger et de nous investir plus en profondeur sur un travail concernant Lizène car nous avons vraiment eu l’occasion de vivre quelque chose de très concret.
Maxime Tombeur 6A.

Les impressions de Mélodie et Aline sur l'exposition de Jacques Lizène.


Cette année, au mois de mars, nous sommes allés à Anvers visiter le Mukha ainsi que quelques galeries d’art. Nous avons commencé la visite par le Mukha (plus grand musée d’art contemporain de Belgique). Nous y avons vu une exposition de Jacques Lizène, le petit maître de Wallonie. Après quelques heures, nous avons vu les galeries d’Anvers ou nous avons pu admirer de nombreuses heures, photographies et peintures. Certains ont aimé, d’autre moins, mais cela restera une expérience inoubliable pour nous tous.
Mélodie Dumoulin
Au cours d'arts d'expression,nous avons énormément parler du célèbre artiste Jacques Lizène. J'ai appris beaucoup de choses sur lui mais tout était lointain, abstrait. Cet artiste me paraissait un peu fou.Ce n'est qu'en allant à Anvers que j'ai compris ses oeuvres. Enfin comprendre c'est un grand mot mais en tout cas j'ai pu voir d'un peu plus près ces peintures à la matière fécales et ses oeuvres décalés... Et tout cela était étrange, car ces oeuvres me paraissait vraiment des oeuvres et non de l'art "nul". Enfin c'est compliqué à expliquer je peux juste vous conseiller d'aller voir les différentes expositions de Jacques Lizène notamment au Mukha...
Aline Bouhon

dimanche 15 mars 2009

Critique d'une exposition à l'espace Flux par Alix Sepulchre.

Nous avons été voir l’exposition d’Yves Piedbœuf à l’espace Flux. À cette dernière, nous avons appris beaucoup de choses dont le fait qu’une galerie peut-être créer à la base d’une maison d’habitation, tout comme le bureau de presse peut y être inclus. Ainsi nous avons compris que c’est l’œil du spectateur qui fait que quelque chose ou une œuvre est art et non l’endroit. Maintenant penchons nous sur le contenu de cette exposition.
Premièrement, nous savons que dans l’art, il y a énormément de concepts et d’idées, mais dans cette exposition, il n’y en a pas. « L’image n’est pas réductible au concept ». Etrange et contradictoire. De plus, il n’y a pas de message caché à proprement dit. L’artiste met plutôt dans ses peintures un message personnel. Le travail de l’artiste est le plus spontané que possible nous permettant ainsi d’avoir une expérience sensible très personnelle étant donné que Piedbœuf joue sur l’émotion, et un contact avec la nature, car il faut savoir que le thème de l’exposition est la forêt. L’interprétation est donc libre, tous les tableaux sont en noir et dans les tons de rouge. On pourrait voir soit des arbres rouges, soit des arbres noirs. En partant de couleurs, Yves Piedbœuf les fait lui-même avec des pigments naturels (on constate ici un rapport avec le thème – nature, forêt et pigments naturels). Cela nous rappelle alors Klein, qui créait aussi sa propre couleur sauf que, lui, accordait plus d’importance à la couleur finie qu’à la matière.En contre exemple, prenons l’exposition « Business is still business » : l’interprétation n’est pas libre et ce que nous voyons est plus figuratif, sans oublier le message que l’œuvre contient; le travail. Par exemple, avec l’œuvre de Barry Mc Gee, « l’homme couché », le message est très clair: la société, ses attentes et ses désirs écrasent l’homme au point qu’il ne parvient plus à faire les gestes les plus simples, comme se relever.
Pour en revenir à l’interprétation libre, le sens des tableaux n’était pas prévu: on pouvait les placer comme on le préférait. Tout comme la taille qui diverge (petit: intimité, grand: englobant).Par exemple, avec le plus petit cadre, l’artiste s’est plus focaliser sur l’arbre lui-même, ce qui entraine une confusion entre le réel et l’abstrait. Quant aux grandes toiles, on va préférer les regarder de loin pour tenter de mieux comprendre ce que le tableau pourrait nous apporter.<<>>, on en vient alors, avec cette phrase, à la disposition des œuvres. « Les espaces blancs permettent d’imaginer ce qu’il y pourrait avoir ». Donc même les plus petits détails et ce qu’on pourrait penser anodin est pris en compte: si deux peintures sont plus espacées, ou plus rapprochées, l’interprétation peut changer du tout au tout. Ce que dit bien Didi-Huberman en disant qu’une image est inépuisable et qu’elle fait désormais partie de notre rapport à l’expérience. Et par inépuisable, on retrouve bien l’idée que l’on peut avoir diverses interprétations en fonctions de la taille, du sens…
Nous retiendrons donc de cette exposition que l’œil du spectateur fait beaucoup et comme l’a dit Piedbœuf: « l’œuvre de ne se suffit pas à elle-même, elle devient dynamique avec l’œil du spectateur ». Nous pouvons avoir une expérience sensible d’autant plus facilement étant donné qu’il n’y a pas de message bien précis. Nous nous laissons donc entrer dans la peinture, laissant ainsi nos interprétations vagabonder à notre guise. Sans oublier, que la taille, le sens et les couleurs nous aident à en avoir plusieurs.
Alix Sepulchre

lundi 9 mars 2009

Billet sur le Travail de Fin d'Etudes par Bérangère.

J'ai choisi de faire un TFE sur le cinéma espagnol parce que j'aime le cinéma. Pourquoi espagnol, je n'en sais trop rien. Cette langue m'a toujours fascinée car sa ressemblance avec le français me permettait de toujours plus ou moins comprendre les films dans cette langue. Ma maman a vécu trois ans à Barcelone et quand j'étais petite, elle a tenté de m'apprendre l'espagnol mais sans succès : je répondais en français... Je pense aussi que j'ai voulu m'informer sur les réalisateurs, sur le pourquoi du comment et découvrir pourquoi il est si riche. Mais il est tellement vaste que je n'en n'ai découvert qu'une partie.
Bérangère Forro

Billet sur le Travail de Fin d'Etudes par Laetitia.

J'ai décidé de faire mon TFE en arts d'expression car la publicité m'interressait et que ce sujet était proposé. J'ai bien aimé faire ce TFE avec Julie car ce sujet est un sujet que l'on croise dans la vie de tous les jours et qui nous touche de près. C'était intérressant de pouvoir voir comment les publicitaires jouent avec notre inconscient et arrivent à nous faire consommer sans que l'on s'en rende compte. J'ai évidement été décue du résultat pour autant de travail effectué. Je pense que ce TFE ne restera pas le meilleur souvenir de ma rhéto mais au moins je relativise en me disant que j'ai effectué un gros travail comme j'en effectuerai dans les prochaines années.
Laetitia Hamal