mardi 30 juin 2009

Le tournage d'un court-métrage en 5ème


Notre projet :

La réalisation de « On fait quoi, alors ?! », en collaboration avec Marc Malcourant (CAV), fut une belle occasion, pour la classe de 5ème arts d’expression, de travailler en équipe, de gérer les contraintes d’un projet de plusieurs mois et, surtout, d’expérimenter le langage cinématographique.

Après être passés devant et derrière la caméra et avoir travaillé pas mal de temps sur le banc de montage, les élèves voient le cinéma d’un nouvel oeil. L’an prochain, ils présenteront leur film à l’école et poursuivront leurs découvertes en rédigeant des critiques de films sur le blog cinéma des rhétos (http://plusloinquleboutdcine.blogspot.com/) et en participant au Prix des lycéens du cinéma.

Marie Guérisse (professeur)

 

 

Quelques réflexions d’élèves :

 

Le cinéma est déjà fantastique quand on le connaît seulement comme téléspectateur... Mais quand on passe devant et derrière la caméra, on se rend très vite compte que réaliser un film est un énorme travail. Les difficultés rencontrées et la charge de travail demandée pour réussir un tel projet sont extrêmement fascinantes et très gratifiantes, surtout lorsque l’on découvre notre film sur l’écran !

Masset Benoit, 5D

 

 

Créer un film de A à Z est un travail méticuleux, qui demande beaucoup de temps et d'attention. Chaque détail est important, il ne faut rien laisser au hasard. On peut s'imaginer le travail que c'est uniquement quand on le vit. J'admire les personnes qui montent des longs métrages, car ma foi, elles doivent faire preuve d'une grande patience !

Florine Léonard, 5D

 

 

Notre projet a commencé par une réflexion sur le thème : "Comment serait la vie sans retransmission d'images et de sons?" On a chacun rédigé nos idées, puis on a tout mis en commun pour arriver, avec l'aide de Madame Guérisse (le professeur) et Marc Malcourant ( le réalisateur), à la conclusion suivante : notre projet sera divisé en trois parties : le coeur central, qui regroupe des situations de la vie courante au moment de la coupure de transmission (exemple : une conversation au téléphone qui se coupe, plus de radio quand on est dans la salle de bain ,...), une partie sous le thème "facebook" et une dernière partie qui introduit un problème de communication entre une mère et sa fille faute de gsm.Une fois les histoires établies, on s'est appliqués à dessiner le "story-board", à organiser les équipe, à faire répéter les acteurs, puis on a choisi des dates de tournage. C’était parti !

Bats Justine, 5A

 

 

Durant le tournage de notre court-métrage, le plus amusant a été d’être à tour de rôle : caméraman, perchiste, scripte ainsi qu’acteur. Il y avait à chaque fois une ambiance agréable sur le plateau. J’ai trouvé le tournage drôle, même si sur le moment le stress était au rendez-vous et que quelques petits incidents du direct se sont produits. Je garde un très bon souvenir de cette expérience !

Elodie Lenzke, 5A

 

 

Pour nos derniers mois du cours d'arts d'expression en cinquième année, madame Guérisse nous a lancés sur le projet de réaliser nous-mêmes un court-métrage. Au début, nous étions inquiets... Avouons-le. Par la suite, notre professeur a invité un réalisateur en renfort et nous voilà partis : story-board, élaboration de l'histoire, casting, tournage... et nous voilà déjà au montage. Tout s'est passé vite et bien. Ce fut une excellente expérience, que peu auront probablement la chance de revivre !

Laurane Bodeus 5A

 

 

Le projet de cette année est un court-métrage. On s'imaginait tous les plateaux d'Hollywood et de tous les films américains... Panique! Madame Guérisse, notre professeur, nous rassure et nous voilà mis au travail. Quelle belle expérience ! La collaboration de toute la classe sur un même projet a permis au groupe de se renforcer et de se souder autour d’une tâche qui nous tenait à coeur comme. Que demander de plus ? Nous en gardons tous un très bon souvenir !

Chloé Piron 5A

 

 

Au commencement de ce projet cinéma, je crois que peu d'entre nous s'imaginaient le temps que ça allait impliquer... Le scénario, le story-board, les mises en commun, les doutes, les repérages, les demandes, le tournage en lui-même, les malentendus... et j'en passe. Tout ça pour seulement un court-métrage d'environ 8 minutes... C'est de la folie, mais c'est un bonheur tellement grand de pouvoir réaliser un tel projet que tous nous recommencerions !

Catherine Delmotte 5A

 

 

Pour le projet du court-métrage de la classe de 5ème arts d’expression, j’ai obtenu un des rôles principaux. Il est vrai qu’auparavant, je ne pensais pas que de simples détails pouvaient poser problème, ni que parler à une caméra sans la regarder pouvait être difficile ! Pourtant, le simple fait que la luminosité change a tout modifié. Au lieu de parler à Benoît, qui devait me donner la réplique, j’ai dû converser avec un matelas réfléchissant la lumière, le tout sans jamais regarder la caméra !

Helene de Ruette 5D

jeudi 25 juin 2009

NOS VIDEOS EN LIGNE!

Pour visionner les vidéos d'arts d'expression en ligne, sur dailymotion, cherchez Ho7229.

Depuis 3 ans, la classe de 5ème réalise un film d'une dizaine de minutes (de janvier à mai), en collaboration avec des professionnels (le Centre Audiovisuel de Liège ou la Cinematek de Bruxelles), grâce aux projets "Culture-Enseignement" de la Communauté française.
Voici deux exemples:

2007-2008: "Dis-lui", court-métrage de fiction.

2006-2007: "C'est arrivé près de chez nous", documentaire sur le cinéma belge.



Jusqu'en 2006, les élèves réalisaient de petits films d'une durée de 2-3 minutes, dans l'enceinte du collège:

"Sous garantie", "L'enfant Noël", "Mentos", "Le clown", "Alex est coulé en anglais", "dé-rangé", "Secouez-moi!", "Le toi du moi", "Pi", "Quand le chat est parti", "Laras"...

...bientôt en ligne.



Les autorisations parentales, pour la diffusion dans un contexte non commercial, ont été récoltées depuis 2007, après la demande de la Communauté française, suite au développement du web.
Si le droit à l'image pose un problème quelconque à un élève, la vidéo sera retirée rapidement. Pour cela, écrivez au professeur (marieguerisse@hotmail.com).

Passez de bons films!

dimanche 7 juin 2009

Billet sur le Travail de Fin d'Etudes par Mélanie.

Contrairement à de nombreux rhétoriciens, écrire un TFE à été pour moi une expérience enrichissante. Passionnée par mon sujet "l'art dans la nature", j'ai tout de suite pris du plaisir à rencontrer des artistes et récolter le maximum d'informations dans diverses bibliothèques. Certes, cela m'a demandé énormément de temps et de patience pour maîtriser mon sujet, mais j'ai pris ce travail plutôt comme un enrichissement personnel et non comme un travail obligatoire à rendre. Dès lors, les trente pages à rendre n'ont plus été pour moi un obstacle à force que je cultivais cette passion. Aux dernières échéances, on se surprend à découvrir de nouveaux sujets et artistes qui s'avèrent être tout aussi passionnant et qu'on aurait envie d'insérer dans notre travail, mais respectons les consignes! Aujourd'hui, en relisant mon TFE, je suis étonnée par l'énergie que j'ai déployée. Je ne regrette pas cette aventure, même si elle m'a accasionnée beaucoup de stress et d'arrachement de cheveux!
Mélanie Appeldoorn

Découverte du cinéma d'auteur par Manon.

Mon premier film d’auteur, visionné cette année, est Elephant. Moi qui avait l’habitude des comédies gentilles qui faisaient rêver, mon impression fut formelle : « Euh... C’est quoi ce film ? Il n’y a même pas d’histoire ! ». Je dois l’avouer, j’étais choquée, je me demandais pour quelles raisons ce genre de film était conçu. Cela me faisait déprimer et ne m’amusait pas du tout.
N’était-ce pas le but des films de faire rêver et de se changer les idées ou de donner de l’espoir ? Et bien, NON.
Maintenant, j’ai compris la nécessité des films d’auteurs et la débilité des comédies hollywoodiennes. Dans ces dernières, nous devinons la fin dès le début, nous sommes passifs, nous ne réfléchissons pas aux vraies valeurs de la vie pour laquelle nous n’avons aucune réflexion. Nous nous plongeons alors dans un monde qui n’est pas le nôtre. Un monde beau qui finit toujours bien et dans lequel tout le monde est heureux, malgré qu’il y ait des hauts et des bas. Dans les films d’auteurs, nous sommes face à la réalité de la vie. Avec ses réels problèmes et sa triste vérité. Cela ne veut pas dire que nous n’y voyons que la vie en noir, bien au contraire. Beaucoup sont faits avec humour et tendresse mais tout en gardant les pieds sur terre, sans inventer un monde trop beau.
Ainsi, nous sommes actifs et réfléchissons à la vie, aux causes et conséquences, aux malheurs, aux comportements, à la psychologie des hommes et parfois cela dans l’humour non vulgaire.
Dorénavant, je me sens bête quand je vais voir une comédie hollywoodienne, même si cela fait du bien de temps en temps. Cependant, j’ai maintenant une préférence : aller voir un film d’auteur plutôt qu’un hollywoodien.

VITO Manon, 5A

Découverte du cinéma d'auteur par Justine.

Cette année, j'ai appris à découvrir des films autre que des films classiques français ou hollywoodiens qui nous font bien rire. J'ai particulièrement appris grâce à ces films d'autant plus que je n'en avais jamais regarder. Les films dit "d'auteurs" nous font ressentir beaucoup plus de choses qu'un film qui ne nous font que rire. Par exemple, le film "La petite Lili" de Claude Miller m'a fait découvrir des sentiments que je n'avais jamais ressenti en regardant un film comme "La haine", le dégout ou la nostalgie. Le film aussi "The hours" de Daldry a été le premier film de toute ma vie pour lequel j'ai versé ma première larme...Comme quoi, tout arrive.
BATS Justine, 5A

Découverte du cinéma d'auteur par Thibaud.

Depuis notre cinquième année, nous voyons le cinéma dans le cadre du cours d’arts d’expression. Plus précisément, le cinéma d'auteur. Au départ, cela nous parait vague et abstrait ; comment différencier un tel film d'un film commercial habituel ? Après en avoir visionnés plusieurs, cela devient un peu plus clair, et c'est à ce moment que j'ai vraiment commencé à m'intéresser au cinéma. Bien sûr cela m'a toujours plu, mais dorénavant, mes choix de films sont plus diversifiés, et je n'irai plus voir un film en ne m'attardant que sur les acteurs principaux.De plus, le fait d'avoir réalisé un film m'a fait comprendre à quel point cela était compliqué; et ça doit l'être encore d'avantage pour un long-métrage. Je trouve que l'on est plus apte à vraiment être impressionné par un bon film quand on en a nous même eu l'expérience.
Thibaud Salmon.

Découverte du cinéma d'auteur par Justine.

En début de 5ième, le cinéma représentait pour moi les sorties entre copines le samedi soir, la détente et les pop-corn. Un an plus tard, ce n'est plus du tout la même chose... J'ai découvert dans le cinéma, quelque chose de plus, beaucoup plus enrichissant! Le cinéma est toujours une évasion mais aujourd'hui, regarder un film qui ne me fait pas réfléchir à un aspect de la vie ou du monde ne m'intéresse plus. Des films tels que "Elephant" de Gus Van Sant font aujourd'hui partie des choses que je n'oublie pas. Les films de Lynch m'ont juste fascinée et ceux de la Nouvelle Vague me passionnent. J'avoue ne pas rechigner devant une comédie romantique qui fait pleurer (et oui, je suis une fille...) mais aujourd'hui, j'ai juste remarqué que le cinéma peut être de l'art (dans certains cas!).
Justine Rossius 6E

jeudi 4 juin 2009

Découverte de l'art contemporain par Mario.

En débutant ma dernière année de secondaire, je n’avais encore jamais vu un quelconque objet d’art contemporain. Ce monde me semblait fort fermé, un peu marginal et assez élitiste. Les codes pour le comprendre m’étaient encore inconnus. Cette non-connaissance me maintenait hors de ce petit monde à part, car si ce que je voyais ne soulevait ni question ni réflexion ni prise de conscience, j’étais à coté de la plaque…
Tout au long de l’année j’ai découvert petit à petit les règles qui régissent le domaine du contemporain. J’ai appris à déchiffrer les messages cachés derrière les traits ou les montages. J’ai pu ainsi m’ouvrir aux réflexions, aux questionnements que suscite tout bon travail contemporain.
Je me suis aperçu que l’art contemporain n’est pas si insensé ou farfelu qu’il m’a paru. Les expériences qui en sortent font toujours appel à nos sentiments, notre vécu ou notre inconscient. Ce qui m’a paru être un monde fermé est en fait un monde plein de possibilité pour peu qu’on en connaisse les codes.

Mario Di Miceli.

Les impressions de Mario sur la réalisation d'un court-métrage.

Le projet majeur de l’année passée fut la réalisation d’un court métrage sous la tutelle de Bernard Dresse, réalisateur professionnel. J’ai trouvé extrêmement instructif de pouvoir expérimenter soi-même et de A à Z la réalisation d’un tel projet. Du scénario au générique en passant par le casting, nous nous sommes rendu compte du travail et de l’implication nécessaire à la mise sur pied d’un court métrage. J’ai eu la chance d’avoir été choisi pour jouer pour jouer un des premiers rôles dans le film. J’appelle cela une chance car j’ai réellement apprécié le fait de jouer un personnage pour la première fois. Cela permet de découvrir de nouvelles sensations. Les fous rires incontrôlables et sans raison, le stress subi provoqué par la camera, ou encore l’interaction parfois cocasse entre deux acteurs, chacune de ses expériences fut enrichissante ! Ce fut sans aucun doute un projet instructif tout en étant assez divertissant, léger, agréable.
Mario Di Miceli.

Découverte du cinéma d'auteur par Laetitia.

J’ai découvert le cinéma d’auteur grâce à l’option arts d’expression. Avant je ne regardais que des films au kinépolis et je n’allais jamais au Churchill. J’ai découvert ce cinéma grâce à l’option et j’ai surtout découvert des films dont pour certain je connaissais les réalisateur mais n’avais jamais vu d’eux que des affiches. Je vais donc aujourd’hui bien plus souvent au Churchill et plus jamais au Palace car je trouve que ce cinéma n’est pas conviviale, ni agréable car souvent les sièges sont sales. Au niveau des films j’ai été voir récemment Blindness qui a été cette année un des films qui m’a le plus toucher que ce soit au niveau de l’histoire mais aussi sur sa réalisation. Ce genre de film est un film dont on se souvient encore longtemps après, contrairement aux films d’amour banals du cinéma américain. Je pense que dans l’option arts d’expression le cinéma d’auteur a été ma plus grande découverte et surtout celle qui m’a le plus intéressée et fait changer mon avis sur le cinéma en général.
Laetitia Hamal.

Audrey nous raconte son expérience en tant que membre du Jeune Jury du Festival Emulation.


Je m'appelle Audrey et je suis étudiante en rhéto dans la section Arts d'expression du Collège. Pendant une semaine, lors du mois d'octobre dernier, j'ai eu la chance de faire partie du Jury jeune du Festival Emulation organisé par le Théâtre de la Place.
En quelques mots, ce Festival donne l'opportunité à des jeunes compagnies théâtrales de la Communauté française de faire découvrir leur univers à un large public, Le jury jeune était composé de dix étudiants issus de diverses écoles secondaires de Liège et montrant chacun un engouement certain pour le théâtre, J'ai donc parcouru sept lieux, comme par exemple, le plus inattendu, l'Institut d'Anatomie de l'Ulg mais aussi la chapelle Saint-Roch-en-Volière, l'Académie Royale des Beaux Arts de Liège afin de découvrir sept compagnies à travers sept spectacles totalement différents. A côté du jury composé de professionnels de la scène internationale qui ont attribué le « Prix Emulation » à un spectacle de la programmation, nous avons décerné une mention spéciale « Coup de coeur » au spectacle « Ma famille », une création de Pied'alu Théâtre en collaboration avec Pi3, 14 dans une mise en scène de Denis Mpunga.
Cette expérience au sein
du Festival fut très enrichissante tant sur le plan artistique que sur le plan humain car j'ai pu rencontrer des metteurs en scène, des acteurs et aussi d'autres professionnels du théâtre venus des quatre coins de l'Europe.
Audrey Rodriguez Exposito.

Rencontre avec l'art contemporain par Alice.

La première fois que j'ai vu une oeuvre d'art contemporaine, j'ai eu envie de m'enfuir; ça ne me disait rien qui vaille. En effet, l'art contemporain est souvent abstrait et contre-esthétique. Mais maintenant, ça va. Certaines oeuvres me font sourire, j'apprécie les performances de Sophie Calle, ainsi que la broderie sur photos de Graziella Vruna, les phrases de Ben et même les oeuvres médiocres de Lizène. Evidemment, il m'arrive encore d'être rebutée par certaines oeuvres, mais beaucoup moins qu'avant. Il m'arrive même de trouver dans certaines oeuvres contempraines une certaine esthétique. Ce n'est pas pour autant que j'accrocherais des oeuvre d'art contemporain dans mon salon, mais je commence à l'apprécier.
Alice Piedboeuf

La création de blogs par les 6èmes d'arts d'expression 2009,comment s'est-il déroulé?




Nous ne sommes pas très intéressés par l’informatique au départ, la création de blogs ne nous attirais donc pas énormément. Nous avons choisi de faire le
blog ex-art d’ex car nous trouvions cela chouette d’avoir l’avis d’ancien élève sur l’option mais aussi savoir quelles études ou quel parcours ils ont fait depuis leur sortie de rhéto. Certains nous ont répondu rapidement en ajoutant même des photos, en parlant de souvenirs ou des projets qu’ils avaient fait à l’époque. Cela était donc chouette de pouvoir partager avec eux leurs expériences mes aussi recevoir de leurs nouvelles.
Tiphaine Heuse, Laetitia Hamal et Julie Henniken



Faire un blog ? Oui, mais je ne pensais pas que j'en ferai un jour un pour l'école... J'en ai un, et il n'a absolument rien à voir avec ce que l'on fait ici. Ecrire des critiques, dire ce qu'on pense, donner son avis... Ce n'est pas quelque chose que je fais habituellement. Et puis, travailler en groupe sur un blog, ce n'est pas toujours facile; on peut avoir des différends, et pas seulement avec les membres de son groupe... Pour ma part, je travaille sur le
blog théâtre, par choix, et ce, parce que le théâtre m'a toujours attiré. Je dois avouer que ça ne me déplait pas, c'est juste différent de ce que j'ai l'habitude de faire...
Alice Piedboeuf



Lorsqu'on m'a dit tu vas creer un blog , et pas n'importe lesquel le
blog projet.Je me suis tout de suite dit qu'on s'était tromper d'option, nous sommes en option arts d'expression pas en informatique ! Néanmoins, ce fût une expérience vraiement enrichissante, on a appris a travailler en groupe . De plus , l'informatique n'a plus aucun secret pour nous !
Ce blog permet de montrer que l'option arts d'expression n'est pas qu'une matière facile ,en fait cela permet de montrer que l'option arts d'expression n'est pas une sous option ce que pense beaucoup de gens.Et cela m'a permis de voir tous les travaux réaliser aux cous de l'année ainsi que d'autres travaux que j'aurais pu ne jamais voir..
Aline Bouhon



Je trouve que c’est une idée très originale de créer un blog. Généralement, les gens ne comprennent pas notre option lorsque nous leurs disons le mot « arts d’expression ». Le
blog d'arts plastique permettra donc de mieux visualiser notre parcours que nous avons suivit durant ces deux dernières années. La création de ce blog n’a pas été de tout repos ! J’ai pu ainsi mieux me rendre compte des responsabilités à avoir lorsque nous travaillons en groupe. Une bonne expérience pour les années du supérieur…
Mélanie Appeldoorn



L’idée même de construire un blog était a priori une démarche assez simple pour moi, ayant déjà créé un skyblog. Toutefois, cette expérience se révéla plus compliqué que ce que je ne croyais. En effet, cette fois-ci, nous devions travailler en accord avec toute la classe, ne fusse que pour récolter toutes les informations et les billets. Je dois dire que parfois l’utilisation du traitement de texte fut assez compliquée. J’ai vécu cette expérience comme un devoir à faire plutôt qu’une opportunité. Malgré tout je dois avouer être plutôt fière de ce que nous avons accomplis.
Odile Dion

Rencontre avec Eugène Savitzkaya par Justine.

"Ma rencontre avec monsieur Savitzkaya ne m'a pas du tout éclairé sur son personnage. Ca ne m'a pas permis de comprendre ses livres ni meme ses buts dans l'écriture. Par contre, j'ai très bien compris ses autres projets et je trouve que ca peut etre tres interessant comme son projet avec le théâtre de la place. J'ai eu l'occasion de rencontrer cet auteur à deux reprises. On a beau me dire que ces 2 rencontres n'étaient pas destiné au même thème, je n'en vois quand meme pas la différence. Pour moi, ces rencontres n'ont pas du tout ete fructeuses au point de vue de la poésie mais m'ont permises de comprendre qu'un écrivain ne se limitait pas qu'à l'écriture mais divaguait dans bien d'autres horizons."
Justine Bats, 5A

Rencontre avec un artiste contemporain belge par Odile.

Après avoir tourné en rond dans la ville de Liège en essayant de nous repérer sur la plan de Rebecca, nous finissons, enfin, par arriver dans le nouvel atelier de kathleen Vossen vers 17h15 le jeudi 28/05. Au début de l’interview je ressenti une petite gêne mais elle disparut assez vite. J’ai énormément apprécié le fait qu’elle nous montre certaines de ses œuvres et qu’elle essaye de nous expliqué le plus simplement possible la complexité des thèmes qu’elle aborde depuis le début de sa carrière dans le monde de l’art contemporain.

Odile Dion

jeudi 28 mai 2009

Billet sur le Travail de Fin d'Etudes par Julie H.

Lorsque l’on m’a annoncé que l’on devait réaliser un travail de fin d’études pour la fin de l’année, j’ai commencé à chercher dans quelle matière j’aimerais le mieux travailler. J’ai donc décidé de faire ce travail en arts d’expression car le sujet de la publicité dans la post modernité m’a plus directement attirée car je voulais me diriger vers des études publicitaires. J’ai commencé à chercher des informations et plus je cherchais, plus je me suis rendue compte que ce domaine est immense et tellement diversifié. De plus, tout est dirigé pour faire du profit donc l’approche que j’imaginais est différente en réalité. Même si je n’ai pas bien saisi directement le sujet et que je me suis orientée vers une piste qui n’était pas correcte, je pense que j’ai beaucoup appris sur le sujet et que ça m’a aidé à y voir plus clair pour peut-être mes futures études (marketing.)
Pour finir, j’ai bien aimé travailler en équipe et sur ce sujet qui nous a apporté beaucoup de choses.
Julie H.

mardi 26 mai 2009

Rencontre avec un artiste contemporain belge par Mélodie.

Ce mardi 26 mai, j'ai rencontré Marianne Ponlot. C'était pour moi une expérience très intéressante car c'était la première fois que je rencontrais un artiste et que je parlais de son oeuvre. J'ai trouvé Marianne très sympathique et très pédagogique, ce qui a aidé pour la compréhension. Cela m'a fait bizarre d'avoir des informations sur une artiste "en direct" et pas via internet... Rencontre très intéressante et agréable.
Mélodie Dumoulin

Rencontre avec un artiste contemporain belge par Mélanie.

Ce mardi 26 mai, j'ai rencontré Marianne Ponlot à l'Académie des Beaux-Arts. Je me sentais très mal à l'aise dans cet endroit. J'avais l'impression que tout le monde voyait que je ne faisais pas des études dans cette section. Cependant, j'ai été très étonnée lorsque Marianne m'a accueilli de manière chaleureuse avec un grand sourire malgré qu'elle était en plein travail. Tout de suite, cette femme bien sympathique, vêtue d'habits de chantier m'a mis très à l'aise. Je n'ai pas eu beaucoup de mal à établir un contact avec étant donné que son travail m'intéressait beaucoup et que plein de questions germaient dans ma tête. De plus, malgré que je redoutais que cet artiste parle avec des mots trop "savants", j'ai été surprise de voir combien celle-ci s'exprimait de manière simple et que son travail ne relevait pas d'une étude poussée et trop hermétique.
Mélanie Appeldoorm

lundi 25 mai 2009

Rencontre des 6ièmes années avec un artiste pas comme les autres : Marc Verstockt













Ce jeudi 14 mais 2009, nous avons eu le grand honneur au Collège Sainte-Véronique d'accueillir un artiste flamand : Marc Verstockt. Cet homme un peu hors du commun, il faut l'avouer, nous a mis tout de suite dans le bain. En nous expliquant qu'il ne parlait pas bien notre langue, qu'il habite en Wallonie mais parle Flamand...En nous racontant sa vie, ses oeuvres et projets. Ce qui m'a le plus choqué et amusé c'est lorsqu'il nous a présenté sa première vidéo en nous disant ceci:"Ce film que j'ai réalisé je vous le dit déjà va vous ennuyer à mourir et je m'en excuse d'avance.."Directement, on voit que c'est un homme est loin d'être prétentieux et excusez moi le terme pète- cul, mais au contraire il est à l'écoute des critiques et aux échanges d'idées. Son travail sur le carré est remarquable, ses livres d'art dont le denier est en collaboration avec 84 artistes de par le monde, montre que cet homme Marc Verstockt est pour la rencontre avec les gens.. Et cette fois ci, c'est nous, la classe d'arts d'expressions de 6 ème années qui avons eu la chance et l'honneur de le rencontrer...
Bouhon Aline

jeudi 7 mai 2009

Avant première du court métrage des 6 èmes à la cinématek

Le jour où nous sommes allés à Bruxelles, nous avons eu la chance de passer par la cinematek et de voir ENFIN notre court métrage.Après 1 an de travail acharné dessus, j'ai été vraiment contente de le voir et en plus sur grand écran c'était fabuleux.On peut désormais dire que notre film est passé sur grand écran dans un petite (vraiment petite ) salle de cinéma.Enfin tous les efforts fournis ont été récompensés car franchement j'ai trouvé le film superbe!J'ai trouvé que les acteurs en herbe jouaient très très bien,j'ai aimé cette ambiance de stress où la réalité se mélangeant aux rêves mais aussi au passé. C'est exactement ce qu'on voulait faire passer comme sensation et j'ai trouver qu'on le ressentait bien.En tout cas merci à Bernard Dresse,un réalisateur qui nous a beaucoup aidé.
Aline Bouhon

mardi 5 mai 2009

Rencontre avec Francis schmetz et par Hélène.

Nous avons rencontré le mois passé, dans le cadre du cours de français, deux poètes : Eugène Savitzkaya et Francis Schmetz.
Francis Schmetz m’a particulièrement touchée. Il était facile de voir qu’il n’avait pas l’habitude de s’exprimer en face d’adolescents, pourtant il ne s’est vexé d’aucune de nos incompréhensions ou de nos questions, que du contraire ! Il a pris le temps de nous expliquer pourquoi & comment il était devenu artiste, et quelle dimension il mettait autours de ce mot et de ses dérivés.
Il nous a aussi lu plusieurs poèmes, et pas uniquement les siens, mais jamais il ne nous a donné les noms des auteurs afin de ne pas nous influencer. C’est sans doute là qu’il nous a montré qu’il était quelqu’un de très simple, et très loin d’être vaniteux, car il a voulu nous ouvrir au monde de la poésie qu’il aimait, et pas uniquement de la sienne.

Lorsqu’il nous a lu ses poèmes, il y mettait de l’expression, et battait même le rythme avec son pied ; il y mettait de sa personne ! En faisant cela, et en nous expliquant ensuite les significations qu’il donnait à certains mots ou à un poème en général, il a touché tout le monde. Personne, même ceux qui ne trouvaient aucun intérêt à ces rencontres, n’a eu l’irrespect de ne pas écouter, et je pense tous avons retenu quelque chose, ne serait-ce que sur le plan humain.
Hélène de Ruette.

Rencontre avec Eugène Savitzkaya par Catherine.

Le mardi 5 mai, Eugène Savitzkaya, poète belge de 54 ans, est venu au Collège Sainte-Véronique pour nous parler de ses poèmes.Fasciné par la poésie, il nous lit quelques extraits de ses poèmes, employant toujours le même ton et accentuant la dernière syllabe de chaque vers, ce qui a rendu la lecture un peu ennuyante pour nous...Mais, j'ai bien apprécié lorsqu'il nous a parlé de ses débuts, de sa carrière et de ses ambitions! J'ai trouvé qu'il parlait avec beaucoup d'entrain et utilisait à chaque fois des exemples concrets.Après cette rencontre plutôt enrichissante, j'ai mieux compris quel était le but et les attentes d'un poète francophone belge.
Catherine GOFFART, 5A

jeudi 26 mars 2009

Les impressions de Maxime sur l'exposition de Jacques Lizène

Dans le courant du mois de mars, nous nous sommes rendus à Anvers pour y visiter le musée d’art contemporain. L’exposition du moment était celle de Jacques Lizène. Après plusieurs heures passées en classe à parler de cet artiste belge très reconnu, nous avons enfin eu l’occasion de nous retrouver face à ses œuvres et de nous faire notre propre opinion sur ce personnage très particulier.
Pour ma part, j’ai apprécié cette exposition car les travaux proposés m’ont vraiment plu et intéressé, même si à la base je n’étais pas vraiment convaincu par les œuvres de ce monsieur très spécial. La vision de ses réalisations m’a permis de mieux comprendre ce que l’artiste voulait montrer et faire passer comme message. Tout au long de la découverte de ce « phénomène » de l’art contemporain belge, nous nous sommes posé toutes sortes de questions sur les raisons qui poussaient Lizène à réaliser ce genre d’œuvres qui pour nous n’avaient pas vraiment de sens.
Cette journée a été une belle découverte car nous avons pu découvrir le travail d’un artiste dont nous avons longuement parlé en classe. Cela nous permet de nous plonger et de nous investir plus en profondeur sur un travail concernant Lizène car nous avons vraiment eu l’occasion de vivre quelque chose de très concret.
Maxime Tombeur 6A.

Les impressions de Mélodie et Aline sur l'exposition de Jacques Lizène.


Cette année, au mois de mars, nous sommes allés à Anvers visiter le Mukha ainsi que quelques galeries d’art. Nous avons commencé la visite par le Mukha (plus grand musée d’art contemporain de Belgique). Nous y avons vu une exposition de Jacques Lizène, le petit maître de Wallonie. Après quelques heures, nous avons vu les galeries d’Anvers ou nous avons pu admirer de nombreuses heures, photographies et peintures. Certains ont aimé, d’autre moins, mais cela restera une expérience inoubliable pour nous tous.
Mélodie Dumoulin
Au cours d'arts d'expression,nous avons énormément parler du célèbre artiste Jacques Lizène. J'ai appris beaucoup de choses sur lui mais tout était lointain, abstrait. Cet artiste me paraissait un peu fou.Ce n'est qu'en allant à Anvers que j'ai compris ses oeuvres. Enfin comprendre c'est un grand mot mais en tout cas j'ai pu voir d'un peu plus près ces peintures à la matière fécales et ses oeuvres décalés... Et tout cela était étrange, car ces oeuvres me paraissait vraiment des oeuvres et non de l'art "nul". Enfin c'est compliqué à expliquer je peux juste vous conseiller d'aller voir les différentes expositions de Jacques Lizène notamment au Mukha...
Aline Bouhon

dimanche 15 mars 2009

Critique d'une exposition à l'espace Flux par Alix Sepulchre.

Nous avons été voir l’exposition d’Yves Piedbœuf à l’espace Flux. À cette dernière, nous avons appris beaucoup de choses dont le fait qu’une galerie peut-être créer à la base d’une maison d’habitation, tout comme le bureau de presse peut y être inclus. Ainsi nous avons compris que c’est l’œil du spectateur qui fait que quelque chose ou une œuvre est art et non l’endroit. Maintenant penchons nous sur le contenu de cette exposition.
Premièrement, nous savons que dans l’art, il y a énormément de concepts et d’idées, mais dans cette exposition, il n’y en a pas. « L’image n’est pas réductible au concept ». Etrange et contradictoire. De plus, il n’y a pas de message caché à proprement dit. L’artiste met plutôt dans ses peintures un message personnel. Le travail de l’artiste est le plus spontané que possible nous permettant ainsi d’avoir une expérience sensible très personnelle étant donné que Piedbœuf joue sur l’émotion, et un contact avec la nature, car il faut savoir que le thème de l’exposition est la forêt. L’interprétation est donc libre, tous les tableaux sont en noir et dans les tons de rouge. On pourrait voir soit des arbres rouges, soit des arbres noirs. En partant de couleurs, Yves Piedbœuf les fait lui-même avec des pigments naturels (on constate ici un rapport avec le thème – nature, forêt et pigments naturels). Cela nous rappelle alors Klein, qui créait aussi sa propre couleur sauf que, lui, accordait plus d’importance à la couleur finie qu’à la matière.En contre exemple, prenons l’exposition « Business is still business » : l’interprétation n’est pas libre et ce que nous voyons est plus figuratif, sans oublier le message que l’œuvre contient; le travail. Par exemple, avec l’œuvre de Barry Mc Gee, « l’homme couché », le message est très clair: la société, ses attentes et ses désirs écrasent l’homme au point qu’il ne parvient plus à faire les gestes les plus simples, comme se relever.
Pour en revenir à l’interprétation libre, le sens des tableaux n’était pas prévu: on pouvait les placer comme on le préférait. Tout comme la taille qui diverge (petit: intimité, grand: englobant).Par exemple, avec le plus petit cadre, l’artiste s’est plus focaliser sur l’arbre lui-même, ce qui entraine une confusion entre le réel et l’abstrait. Quant aux grandes toiles, on va préférer les regarder de loin pour tenter de mieux comprendre ce que le tableau pourrait nous apporter.<<>>, on en vient alors, avec cette phrase, à la disposition des œuvres. « Les espaces blancs permettent d’imaginer ce qu’il y pourrait avoir ». Donc même les plus petits détails et ce qu’on pourrait penser anodin est pris en compte: si deux peintures sont plus espacées, ou plus rapprochées, l’interprétation peut changer du tout au tout. Ce que dit bien Didi-Huberman en disant qu’une image est inépuisable et qu’elle fait désormais partie de notre rapport à l’expérience. Et par inépuisable, on retrouve bien l’idée que l’on peut avoir diverses interprétations en fonctions de la taille, du sens…
Nous retiendrons donc de cette exposition que l’œil du spectateur fait beaucoup et comme l’a dit Piedbœuf: « l’œuvre de ne se suffit pas à elle-même, elle devient dynamique avec l’œil du spectateur ». Nous pouvons avoir une expérience sensible d’autant plus facilement étant donné qu’il n’y a pas de message bien précis. Nous nous laissons donc entrer dans la peinture, laissant ainsi nos interprétations vagabonder à notre guise. Sans oublier, que la taille, le sens et les couleurs nous aident à en avoir plusieurs.
Alix Sepulchre

lundi 9 mars 2009

Billet sur le Travail de Fin d'Etudes par Bérangère.

J'ai choisi de faire un TFE sur le cinéma espagnol parce que j'aime le cinéma. Pourquoi espagnol, je n'en sais trop rien. Cette langue m'a toujours fascinée car sa ressemblance avec le français me permettait de toujours plus ou moins comprendre les films dans cette langue. Ma maman a vécu trois ans à Barcelone et quand j'étais petite, elle a tenté de m'apprendre l'espagnol mais sans succès : je répondais en français... Je pense aussi que j'ai voulu m'informer sur les réalisateurs, sur le pourquoi du comment et découvrir pourquoi il est si riche. Mais il est tellement vaste que je n'en n'ai découvert qu'une partie.
Bérangère Forro

Billet sur le Travail de Fin d'Etudes par Laetitia.

J'ai décidé de faire mon TFE en arts d'expression car la publicité m'interressait et que ce sujet était proposé. J'ai bien aimé faire ce TFE avec Julie car ce sujet est un sujet que l'on croise dans la vie de tous les jours et qui nous touche de près. C'était intérressant de pouvoir voir comment les publicitaires jouent avec notre inconscient et arrivent à nous faire consommer sans que l'on s'en rende compte. J'ai évidement été décue du résultat pour autant de travail effectué. Je pense que ce TFE ne restera pas le meilleur souvenir de ma rhéto mais au moins je relativise en me disant que j'ai effectué un gros travail comme j'en effectuerai dans les prochaines années.
Laetitia Hamal